Piégée elle devient la soumise de la bonne

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il y a 5 ans

Mariée depuis plus de dix ans avec Franck, le maire d’une grande ville portuaire, Marianne s’ennuie dans sa vie de bourgeoise. Depuis qu’il est entré en politique, son mari la délaisse totalement. Après l’avoir séduite et épousée, son mari l’a vite délaissée, pour lui, elle n’est plus que la façade d’une vie de couple épanouie, ou, la très jolie femme potiche que l’on expose lors des évènements où elle doit l’accompagner.

Marianne s’était laissée griser par le pouvoir de cette homme et, on va le dire, sa richesse, ses belles voitures, sa magnifique maison de rêve avec une piscine aussi grande que celle de la ville. Aujourd’hui, cantonnée chez elle, cette femme âgée de 30 ans n’a plus que le plaisir solitaire et ses fantasmes pour réaliser sa vie intime de femme. Son mari lui interdit de prendre un emploi, il la veut disponible pour l’accompagner quand cela l’arrange pour son image, sa pu... de politique.

Certes, elle ne manque pas de belles toilettes, sa voiture ne pouvait qu’être une BMW de luxe, les restaurants où ils s’affichent sont ultra chics. hélas, sa principale compagnie est celle du jardinier venant deux fois par semaine et la bonne embauchée à temps plein avec un gros salaire l’obligeant à être disponible à la demande.

Pour occuper son temps et vivre un peu sa vie de femme, Marianne s’est inscrite sur Fessestivites pour vibrer un peu. Si son mari le savait, il serait fou de rage et aurait peur pour sa réputation. Elle trouve l’inspiration pour satisfaire ses besoins de femme dans les histoires érotiques, les vidéos et les photos. Bien souvent, elle se rend dans sa chambre avec son ordinateur portable dernier cri pour surfer tranquille en laissant courir ses doigts sur son intimité. Le jour où elle a découvert le site plaisirs interdits, un site avec des histoires érotiques parfois hard, elle a achetée toutes celles qui lui plaisait et les a dévorées à s’en faire une tendinite au poignet.

Le selfbondage lui est apparu comme une solution d’infortune, lui permettant de vivre ses fantasmes seule sans que personne ne le sache. En lisant les scénarios et idées de selfbondage de fessestivites.com et en visionnant les 800 vidéos de selfbondage, Marianne s’est enrichie des techniques et multiples pratiques de ce monde solitaire. Elle a aussi commandé sur ABCplaisir, la boutique conseillée, tout ce dont elle avait besoin pour satisfaire ses envies. Par sécurité, elle s’est faites livrer par Mondial relay, personne ne devant savoir que Madame a des envies de soumission et de bondage. Des envies de dépravation diraient les ennemies de son mari s’ils l’apprenaient.

Régulièrement, le mercredi, jour de repos du jardinier et de la bonne, Marianne réalise des scénarios de selfbondage de plus en plus pointus, de plus en plus « cochon ». Elle joue à s’attacher et autres plus discrètement dans la semaine, mais le mercredi.... c’est la grande fête.

Ce mercredi, entre le conseil municipal et ses dîners d’affaire, Marianne sait que son mari ne rentre pas avant au moins minuit si ce n’est plus. Son but cette fois est de jouer la durée, de se rendre dingue de désir et de devoir attendre pour l’assouvir.

Regrettant de ne pas avoir acheté plus de matériel, elle réalise un gros ice-timer, un bloc de glace emprisonnant les clés de ses menottes. Pendant qu’il se finalise, Marianne s’est miss des oeufs vivrant dans les orifices puis deux plugs vibrants avant de mettre une ceinture de chasteté dont les clés sont dans le coffre électronique. Il ne s’ouvrira qu’à 21 heures pour lui rendre sa « liberté ». Pour bien bloquer les accessoires coquins et s’obliger à se laisser aller, elle a enfilé une couche en dessous de sa ceinture de chasteté.

Avant de se lancer dans la suite de son selfbondage, elle surfent à nouveau sur Fessestivites. L’alarme étant mise, elle se sent tranquille, si quelqu’un entrait, avec le bruit qu’elle fait, le cambrioleur n’aurait que le temps de s’enfuir, la gendarmerie étant à peine à 500 mètres de la maison du maire. « Le sadique cambrioleur profitant de la bourgeoise entravée ne sera donc qu’imaginaire » pense Marianne sans s’imaginer un instant l’enfer dans lequel elle se précipite.

Aux alentours des13 heures, après avoir grignoté quelques langoustes avec de la mayonnaise, Marianne se lance dans sa grande aventure. Elle entrave ses chevilles avec une chaînette qu’elle verrouille avec des cadenas, pose des pinces sur ses seins, se met un bâillon ouvert lui permettant d’imaginer être obligée de sucer des sadiques. Le ice-timer contenant les clés des menottes est prêt d’elle avec les ficelles de sécurité. Avant de se menotter mains dans le dos au pied de devant du piano à queue, Marianne mets en route les quatre sextoys vibrants logés dans son intimité.

Les clics des menottes accompagnent les vibrations dans la montée rapide de son excitation. Elle s’allonge sur le côté et sens rapidement l’envie d’uriner la gagner. Encore une fois, elle n’aura pas le choix que de se laisser aller. Elle résiste par principe, par jeu aussi, tout en sachant que la libération de sa vessie avec ce qu’elle porte en elle devrait déclencher un premier orgasme. Un quart d’heure de résistance plus tard, accompagnée de mouvements de jambes désordonnés, sa vessie rend l’âme. Le flot d’urine peine à sortir de son urètre, quand Marianne « explose » littéralement en criant son plaisir. Les contractions semblent ne plus s’arrêter, elle convulse sous le piano en urinant par jet.

Même si elle aimerait bien une petite pose, Marianne sait que les sextoys ne la lâcheront pas tant que les piles ne seront pas chargées. Sa jouissance était si forte qu’elle peine à se reprendre une respiration normale. Son imagination commence à gambader, un cambrioleur plus doué que les autres a réussi à couper l’alarme et vient s’amuser avec elle. Il veut l’obliger à lui faire une fellation. Comme elle résiste il tire sur ses pinces à sein, elle n’a pas d’autres choix que de céder à cause du bâillon ouvert ayant laissé passer la verge dans le grand rond maintenant sa bouche ouverte.

  • Et bien madame, ça c’est une surprise !

Elle lève aussitôt les yeux et, horrifiée, découvre que Marie, sa bonne la regarde. Je ne peux pas s’être trompée de jour, on est mercredi, que fait cette connasse chez moi aujourd’hui ? Se demande Marianne.

  • i é é oi ! Supplie aussitôt Marianne en essayant de faire comprendre qu’elle a besoin d’aide.

Au lieu de l’aider, la bonne pose son sac sur le piano pour en extraire son téléphone mobile et prendre des photos. Marianne essaye de cacher son visage, pousse des « on, on » à répétition tout en bougeant sa tête de droite à gauche. En vain, sa « putain » de bonne continue de prendre des photos et ne semble pas du tout gênée ni inquiète de trouver sa patronne attachée pire que nue.

  • Madame cache bien son jeu ! Dit la bonne en s’essayant à côté d’elle en tirant sur les pinces à sein de sa patronne. Ah, cela fait mal, je suis vraiment désolée ! Lui indique sournoisement Marie en rigolant avant de lui retirer le bâillon.

  • Détachez-moi vite, j’ai été agressée ! Ordonne Marianne.

  • C’est cela oui, avec un bloc de glace et les clés prises dedans et des petits accessoires sûrement logés dans ta chatte !

  • Je ne vous permets pas de me tutoyer, libérez-moi de suite où je vous fais virer ! Hurle presque Marianne avant d’ajouter, qu’elle a été agressée.

  • Arrête la bourge, je sais ce qu’est le selfondage, mon frère en fait je l’ai surpris une fois avec le même bardas que toi. Dis-moi tout simplement que tu as décidée de t’envoyer en l’air.

  • Je vais vous faire virer et vous attaquer en justice pour non assistance à personne en danger.

  • Oui, et là moi, je pourrai très bien diffuser tes photos sur Facebook ou les vendre à monsieur Prats, tu sais le mecs qui essaye de prendre la mairie depuis des lustres. C’est sûr que pour les avoir toutes, il pourrait être généreux......

  • C’est du fric que vous voulez c’est ça ?

  • Je ne suis pas à vendre même si je n’aurai rien contre une petite prime. Non, je veux juste t’apprendre le respect du personnel. C’est quoi c’est trucs qui dépassent ? Demande la bonne en attrapant les télécommandes des sextoys.

  • Non, ça suffit maintenant, je vous interdit de toucher à ça ! Vous n’avez pas le droit ! Crie Marianne désespérée en voyant sa bonne jouer avec ce qui est dans son intimité.

  • Mais cela vibre où tout ça, tu as quatre télécommandes, tu t’en es aussi mi dans le cul ?

Marianne craque, une rivière de larmes coule à présent sur ses joues. Elle a bien compris que sa connasse de bonne va profiter de la situation et lui faire du chantage et elle ne se trompe pas. Si sur un point, cela ne sera pas celui qu’elle s’imagine.

Chapitre deux

TSM

Un site dédié français au selfbondage

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